L’eau est un constituant biologique important et essentiel pour tous les organismes vivants. Compte tenu de son caractère vital, de son importance dans l’économie et de sa répartition inégale, l’eau douce est une ressource naturelle dont la gestion est l’objet de forts enjeux géopolitiques. Localement, le Richelieu prend sa source au lac Champlain et coule vau nord jusqu’au fleuve Saint-Laurent.
Mais détrompons-nous, si l’eau est propre à l’embouchure du lac Champlain, c’est chez nous, dans la vallée du Saint Laurent qu’elle se détériore sérieusement accumulant au passage les eaux de son bassin versant . C’est pourquoi la qualité de l’eau constitue l’enjeu central pour l’Association des Riverains et Amis du Richelieu.
L’état des lieux
La rivière traverse des zones densément peuplées ainsi que plusieurs terres agricoles. Si de nouvelles installations et procédures concernant le traitement des eaux usées ont réduit la présence de certains polluants, il n’en reste pas moins que les débordements se produisent et que le ruissellement des eaux de surface contribue toujours à la pollution de l’eau. La contamination par les pesticides a récemment atteint des niveaux inquiétants. Le dézonage de terres agricoles en périphérie de Montréal accélère l’étalement urbain et exacerbe les risques environnementaux. Aussi, le Richelieu devient en été un terrain de jeu nautique.
Bilan de santé
Bien que le Richelieu soit en bonne condition en certains endroits, il subit néanmoins des agressions tout au long de son parcours, ce qui altère sa qualité globale. L’indice de qualité de l’eau (IQBP) ne permet d’appréhender qu’une partie des problèmes qui affectent les cours d’eau, soit la pollution telle que mesurée par les descripteurs physico-chimiques conventionnels (azote, phosphore, matière organique, coliformes fécaux, etc.). À cette pollution, qui provient en grande partie des rejets urbains et industriels non traités et des activités agricoles, s’ajoute la pollution par des substances toxiques (métaux, substances organiques, pesticides, etc.), qui provient surtout des rejets industriels et des pratiques agricoles et, dans certains cas, des rejets municipaux traités qui reçoivent des effluents industriels. Des substances toxiques ont été détectées à plusieurs endroits.
Ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques
« L’eau est la force motrice de toute la nature. »
L’eau
L’eau essentielle à la vie
L’eau est un constituant biologique important et essentiel pour tous les organismes vivants. Compte tenu de son caractère vital, de son importance dans l’économie et de sa répartition inégale, l’eau douce est une ressource naturelle dont la gestion est l’objet de forts enjeux géopolitiques. Localement, le Richelieu prend sa source au lac Champlain et coule vau nord jusqu’au fleuve Saint-Laurent.
Mais détrompons-nous, si l’eau est propre à l’embouchure du lac Champlain, c’est chez nous, dans la vallée du Saint Laurent qu’elle se détériore sérieusement accumulant au passage les eaux de son bassin versant . C’est pourquoi la qualité de l’eau constitue l’enjeu central pour l’Association des Riverains et Amis du Richelieu.
L’état des lieux
La rivière traverse des zones densément peuplées ainsi que plusieurs terres agricoles. Si de nouvelles installations et procédures concernant le traitement des eaux usées ont réduit la présence de certains polluants, il n’en reste pas moins que les débordements se produisent et que le ruissellement des eaux de surface contribue toujours à la pollution de l’eau. La contamination par les pesticides a récemment atteint des niveaux inquiétants. Le dézonage de terres agricoles en périphérie de Montréal accélère l’étalement urbain et exacerbe les risques environnementaux. Aussi, le Richelieu devient en été un terrain de jeu nautique.
Bilan de santé
Bien que le Richelieu soit en bonne condition en certains endroits, il subit néanmoins des agressions tout au long de son parcours, ce qui altère sa qualité globale. L’indice de qualité de l’eau (IQBP) ne permet d’appréhender qu’une partie des problèmes qui affectent les cours d’eau, soit la pollution telle que mesurée par les descripteurs physico-chimiques conventionnels (azote, phosphore, matière organique, coliformes fécaux, etc.). À cette pollution, qui provient en grande partie des rejets urbains et industriels non traités et des activités agricoles, s’ajoute la pollution par des substances toxiques (métaux, substances organiques, pesticides, etc.), qui provient surtout des rejets industriels et des pratiques agricoles et, dans certains cas, des rejets municipaux traités qui reçoivent des effluents industriels. Des substances toxiques ont été détectées à plusieurs endroits.
Ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques
« L’eau est la force motrice de toute la nature. »
Leonardo da Vinci
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