Le Richelieu constituait autrefois le meilleur moyen pour voyager et pour transporter les marchandises. C’est pourquoi plusieurs villages se sont établis sur ses rives. Par la suite, plusieurs agglomérations se sont développées autour de nouveaux axes de transport, les routes et les rails. Simultanément, l’exploitation des terres agricoles a évolué pour devenir de plus en plus intensive.
Le Richelieu est une voie navigable d’importance qui fait partie d’un réseau international de canaux. La juridiction fédérale sur la navigation est exercée au minimum, laissant à la province le souci de faire respecter (si peu) les règles de navigation et aux municipalités le soin de recevoir les plaintes des riverains en rapport avec la vitesse et le bruit.
Pour sa part, à cause de nombreux glissements de terrain survenus dans le passé, le Québec établit unilatéralement une carte des zones à risque en guise de solution. Une façon bien particulière de pallier aux problèmes d’érosion et d’affaissement des berges causées par les crues printanières et les vagues des embarcations.
Somme toute, aucune juridiction (fédérale, provinciale, municipale, mrc, et autres) n’a de pouvoir entier sur ce qui se passe sur et autour de la rivière. Pire, chacune des juridictions se montre impuissante et, dans les faits, se lance la balle en terme de responsabilité.
Aujourd’hui, dans un contexte de changements climatiques qui n’a pas cessé de nous surprendre, l’environnement de la rivière est plus menacé que jamais par l’activité humaine, quelle soit terrestre ou maritime. Conséquemment la qualité de vie de ses riverains se détériore tandis que la population métropolitaine augmente et se rapproche.
Premiers témoins de cette situation, des riverains engagés et désireux que les choses changent se sont regroupés afin de créer l’Association. Ils sont passé à l’action pour inverser le courant et redonner la santé au Richelieu , à ses eaux, ses rives, sa faune et sa flore.
La fondation de l’association
Pourquoi une association?
Le Richelieu constituait autrefois le meilleur moyen pour voyager et pour transporter les marchandises. C’est pourquoi plusieurs villages se sont établis sur ses rives. Par la suite, plusieurs agglomérations se sont développées autour de nouveaux axes de transport, les routes et les rails. Simultanément, l’exploitation des terres agricoles a évolué pour devenir de plus en plus intensive.
Le Richelieu est une voie navigable d’importance qui fait partie d’un réseau international de canaux. La juridiction fédérale sur la navigation est exercée au minimum, laissant à la province le souci de faire respecter (si peu) les règles de navigation et aux municipalités le soin de recevoir les plaintes des riverains en rapport avec la vitesse et le bruit.
Pour sa part, à cause de nombreux glissements de terrain survenus dans le passé, le Québec établit unilatéralement une carte des zones à risque en guise de solution. Une façon bien particulière de pallier aux problèmes d’érosion et d’affaissement des berges causées par les crues printanières et les vagues des embarcations.
Somme toute, aucune juridiction (fédérale, provinciale, municipale, mrc, et autres) n’a de pouvoir entier sur ce qui se passe sur et autour de la rivière. Pire, chacune des juridictions se montre impuissante et, dans les faits, se lance la balle en terme de responsabilité.
Aujourd’hui, dans un contexte de changements climatiques qui n’a pas cessé de nous surprendre, l’environnement de la rivière est plus menacé que jamais par l’activité humaine, quelle soit terrestre ou maritime. Conséquemment la qualité de vie de ses riverains se détériore tandis que la population métropolitaine augmente et se rapproche.
Premiers témoins de cette situation, des riverains engagés et désireux que les choses changent se sont regroupés afin de créer l’Association. Ils sont passé à l’action pour inverser le courant et redonner la santé au Richelieu , à ses eaux, ses rives, sa faune et sa flore.
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